La dangerosité du flash-ball mis en cause ?
Cette décision rendue le 3 juillet dernier porte non seulement sur l’usage inadapté d’un flash-ball, mais pose encore la question de la dangerosité d’armes présentées comme subléthales, voire non-léthales, mais pouvant blesser grièvement les personnes.
Le Défenseur des droits demande donc qu’une « étude soit menée sur des dispositifs suceptibles de rendre cette arme moins dangereuse » et que des mesures de formation auprès des forces de l’ordre (gendarmerie) soit menées. Le Défenseur se réserve le droit de demander le retrait de ce type d’arme si ses demandes ne trouvent pas de réponse adaptées.